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Article : Que faire de AOC ?

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Soxialisme/capitaliste ou sionisme,/ semitisme , aucun rapport , sauf ...

Christian Feugnet

  11/03/2019

Que ce sont des terrains de réflexions super minés . Rien que le nouveau vocabulaire , déjà , néocons , néoliberalisme , socialisme sociétal ...etc , j'en passe , indique qu'il y a anguille sous roches . Difficile d'en parler en termes tranchés "simples" , les mathématiques comme la logique ont çà de bien qu'elles contraignent à préciser le sens des mots , encore que officiellement c'est encore pour mieux embrouiller , non décidemment le Diable nous persécute , y a surement des envoutés .

Techniquement le

Christian Feugnet

  11/03/2019

Il distille pas plus que 30 mn , au delà c'est la clé sous la porte . Mais parce qu'ils ont pas cherché . D'un autre coté les Gilets Jaunes , se rebiffent parce que taxes , mais ils pourraient faire autrement que d'utiliser de l'essence super taxée , mais oui c'est possible , ils seraient plus riches et Macron , sans taxes , il pourrait pas payer cette police qui leur tire dessus . D'un autre coté les journalistes faudrait qu'ils trouvent autre chose pour justifier leurs revenus .
C'est çà , y a un coté comedia del arte dans l'existence , on s'ennuierait sans perspective de révolution . .

Individualisme et socialisme

jc

  11/03/2019

PhG:

- "la “nouvelle génération” concerne des jeunes femmes qui se retournent contre les mecs, et il se trouve qu’en l’occurrence “les mecs” c’est le Système. Voilà où l’occurrence est bonne et inutile d’argumenter au-delà à propos du féminisme."

- "Le binôme “féminisme-diversité” se retourne contre le Système qui l’a enfantée"

Le "struggle for life" darwinien s'interprète de deux façons: survie individuelle ou survie de l'espèce. Il est clair pour moi que le Système a transposé à la société ce "postulat" biologique en privilégiant exclusivement la première interprétation (chacun pour soi et que le meilleur empoche la mise): capitalisme rime avec individualiste.

Dans le règne animal mammifère, la femelle est plus "survie de l'espèce" que le mâle qui, lui, est plus "survie individuelle". Ainsi la femelle est plus sociale que le mâle (la souris porte en gestation une micro-société allant jusqu'à vingt souriceaux) et chez les espèces mammifères particulièrement sauvages, la femelle doit même protéger sa progéniture de l'appétit du mâle, même le géniteur de la portée.

Je pense que ces caractères subsistent chez l'humain, avec la femme plus socialiste et l'homme plus individualiste, plus capitaliste; je pense que l'unité du foyer est -devrait être- plus le fait de la femme que de l'homme. Permanence et unité pour la femme, changement et diversité (progrès…) pour l'homme, le tout dans l'harmonie bien entendu. La France plus matrie et l'Allemagne plus patrie²? Harmonie en vue²?

Je pense que le binôme "féminisme-diversité" est "Système-zombie", contre nature. Pour moi la naturalité c'est tout le contraire, c'est le binôme "féminité-unité", binôme que je vois comme un binôme "Système-dynamique"  (antiSystème positivé). Lorsque PhG écrit: "Le binôme “féminisme-diversité” se retourne contre le Système qui l’a enfantée", pense-t-il que l'évolution naturelle, métahistorique, du binôme "féminisme-diversité" est de se retourner en binôme "féminité-unité"?

Les mecs c'est le Système-zombie qui s'effondre. Les femmes c'est le Système-dynamique qui prend le relais?

Utopie réaliste ou non? Wait and see.


¹: Je n'ai pas lu et ne lirai pas les oeuvres de Darwin.

²: Réponse chez Emmanuel Todd?
 

Paradoxe de l'entropisation .

Christian Feugnet

  12/03/2019

Il a trés bien été formulé par Ilya Prygogine pour résoudre la paradoxe de la vie . Malheureusement transposé tel quel à la société comme si celle ci était un organisme .
Le probléme , à mon avis est surtout que pour des raisons de domination sociale ; l'énergie est principalement depensée et en proportion croissante à cette domination . Globalement en pure perte pour l'ensemble et au dépend de la plupart c'est une entropie sociale ( hypertrophie communication, commandement) .



 

Individualisme et socialisme.1

jc

  12/03/2019


J'ai oublié de (re)dire ce qui est pour moi l'essentiel: dans le conflit survie individuelle/survie de l'espèce c'est la survie de l'espèce qui prime. Et la mortalité -la non immortalité- des individus d'une espèce donnée est une preuve de cette primauté; c'est du moins ainsi que j'interprète la citation thomienne suivante:
 
"Il y a une certaine incompatibilité entre l'immortalité de l'individu et les possibilités évolutives ultérieures de l'espèce. La mort serait le prix à payer pour préserver toutes les possibilités de perfectionnement futur de l'espèce."¹

Clairement à mes yeux la femme (c'est elle qui enfante) est plus "survie de l'espèce", plus socialiste que l'homme; et pour cela, plus que l'homme, elle a besoin de stabilité, de permanence, car elle a toujours en vue, j'en suis convaincu -mais c'est à elle de le dire-, consciemment ou inconsciemment sa progéniture à venir, c'est-à-dire sa part de sa longue et lourde tâche de la survie de l'espèce, comme le loup de Vigny.

Selon moi ce qui vaut pour les individus vaut aussi pour les sociétés, voire les civilisations: La mort serait [aussi] le prix à payer pour préserver toutes les possibilités de perfectionnement futur de |[l'organisation sociale] de l'espèce." (Pour moi l'espèce humaine est une jeune espèce qui est loin d'avoir trouvé sa maturité, sa vitesse de croisière, comme les abeilles ou les fourmis.)

Jusqu'à présent nos sociétés, nos civilisations ont privilégié la survie individuelle à la survie de l'espèce: struggle for life et que la meilleure société, la meilleure civilisation gagne²; l'histoire des sociétés et des civilisations jusqu'à nos jours semble ainsi se limiter au conflit prédateur-proie que Thom associe à la catastrophe fronce.

La déformation par complication la plus simple de la catastrophe fronce est la catastrophe papillon, avec apparition d'un troisième actant dans le conflit initial à deux actants; ce troisième actant réalise un compromis entre les deux actants antagonistes initiaux. Thom explique ainsi la formation d'outils et d'organes (et, je crois, également le mésoderme comme poche de compromis entre l'ectoderme et l'endoderme).

Si on considère -mon cas- que les hommes, les "mecs", sont plus "ecto" et les femmes plus "endo", alors de les opposer politiquement pourrait -et pour moi devrait- permettre la création d'une poche de compromis, d'un mésoderme politique structurellement stable, tout le contraire du centre vide occupé par le coucou Macron, les deux camps se partageant naturellement -c'est-à-dire selon leur nature respective- le pouvoir.

Thom associe le don (et donc aussi le contre-don) à la catastrophe papillon (catastrophe qui domine -contient en quelque sorte- la catastrophe fronce). Je sens de moins en moins confusément que ça pourrait ouvrir d'intéressantes perspectives politiques.

Ainsi les pouvoirs régaliens des femmes seraient "endo": nourriture, santé, éducation "primaire", habillement³, etc., alors que ceux des hommes seraient "ecto" (défense de l'oikos, du territoire: foyer familial, commune, canton, département, région, nation, et donc construction des maisons, des remparts, des frontières, etc.)⁴. De ce point de vue il reste une large plage "méso" où les deux actants homme et femme seront en conflit permanent.

Mais il ne fait aucun doute pour moi que force doit rester aux femmes, au palais du Luxembourg; car c'est la survie de l'espèce qui prime la survie individuelle.


¹: Thom encore, à ce propos: "Il m'est difficile de voir pourquoi un être pleinement différencié ne pourrait être immortel." Eternel retour?

²: cf. "Tristes tropiques".

³: Thom: "On sera frappé par l'abondance des interprétations sémantiques extraites du vocabulaire de la couture est restée une activité traditionnellement féminine, c'est que sans doute, la confection des vêtements est chez l'Homme le stade ultime de l'Embryologie…"

⁴: Les fillettes aiment bien habiller, soigner, nourrir leurs poupées, les garçonnets préfèrent les jeux de construction.

Dédiaboliser c'est symboliser

jc

  14/03/2019

PhG: "La sagesse c'est aujourd'hui l'audace de la pensée."
Thom: "L'intelligence c'est la faculté de s'identifier à autre chose, à autrui. Il s'agit en quelque sorte d'une identification amoureuse." (cité de mémoire)

Toujours avec la complémentarité politique (et non l'égalité) homme/femme en toile de fond.

L'idée de ce commentaire m'est venue après visionnage du Janus 27 de Jean-Pierre Petit, en particulier ce qui concerne la réfraction (1'40), où j'apprends qu'un certain Ibn Sahl (Xème siècle) a découvert(?) la loi que Descartes a redécouverte sept siècles plus tard.

Wikipédia: "L'antonyme littéral du « symbolique » est le « diabolique », ce qui divise (du grec διαβάλλειν / diaballein, de dia- à travers, et -ballein, jeter, c'est-à-dire « diviser, disperser », par extension « rendre confus »). Le diabolique est, au sens propre, pour les Grecs, le bâton qui semble rompu lorsqu'il est plongé dans l'eau."

Diaboliser c'est diviser (le bâton semble se briser lorsqu'on plonge dans l'eau); dédiaboliser c'est faire l'expérience de pensée inverse du retour à l'unité primordiale.

Thom propose rien moins qu'une théorie de la biologie¹. Selon lui nous -les mammifères- avons deux cerveaux: l'un prédateur, près de la bouche, l'autre proie le long de la moelle épinière. Nos quatre fonctions de vue, odorat, ouïe, goût, avec les organes associés situés près de la bouche -l'input-, sont des auxiliaires de prédation, et les "images" qu'ils perçoivent sont interprétées par le cerveau prédateur. Le toucher est, conjecturalement, associé selon moi au cerveau proie (que je place au bas de la moelle épinière, près des organes excréteurs et génitaux -l'output).

Quand nous essayons de toucher la partie immergée d'un bâton, il y a misfit entre nostre vue -sens prédateur- et notre toucher -sens proie- et c'est le toucher, qui a raison.

Je pense que les femmes -plus "endo"- ont un cerveau proie plus développé que les hommes, et qu'elles ont , peut-être pour cette raison, de bonnes intuitions "viscérales" alors que les hommes -plus ecto- se laissent plus facilement berner par leurs intuitions prédatrices, et lâchent ainsi plus souvent la proie pour l'ombre.

Antoine Blondin²: "Ce n'était pas la première fois qu'il [AB] éprouvait les vertus viriles des femmes, leur rudesse, leur sincérité atroce, leur courage, (...)". Et leur sens de la réalité?

Les femmes plus dans le réel que les hommes?



¹: Et également une théorie géométrique du langage.

²: Cité par PhG dans "L'Europe buissonnière".

(Rq pour PhG: Pour pouvoir avoir accès à Blondin dans le moteur de recherche du site il faut le détacher de Trump.)

 

Masculinisme et fémininisme

jc

  16/03/2019

(Suite de mon commentaire "Dédiaboliser c'est symboliser")

Je viens de lire (et de commenter) un article sur le masculinisme paru dans "Le Blog A Lupus" alors que je milite sur ce site pour un fémininisme -pendant féminin du masculinisme, rien à voir donc avec le féminisme-Système-.

Pour moi les hommes sont plutôt dans l'analyse, la diversité, l'individualisme, le changement (XY) (le progrès…), alors que je vois plutôt les femmes dans la synthèse, l'unité, le socialisme, la permanence (XX).

Je rêve pour la France (et plus si affinité) d'une opposition politique homme/femme. Utopie réaliste?

Pour l'instant je sens la prise de conscience par les femmes de leur pouvoir politique venir plutôt du féminisme-Système que du fémininisme esquissé ci-dessus; aux USA (OAC?) comme en France.

Vers un virage fémininiste -qui réactivera aussitôt, j'en suis convaincu, le virage dual, masculiniste-?

(J'ai proposé la devise unité-harmonie-diversité pour une VIème république à venir. Dans de nombreuses traditions la lumière du soleil symbolise l'unité primordiale. La diversité symbolisée par la décomposition/différentiation¹ de la lumière blanche à travers un prisme et le retour à l'unité primordiale/intégration¹ par la recomposition de cette lumière blanche?

http://diaprojection.unblog.fr/2015/01/12/recomposition-de-la-lumiere/     )


¹: En maths différenciation et intégration sont deux opérations inverses l'une de l'autre.
 

Masculinisme et fémininisme.1

jc

  17/03/2019


De l'eau au moulin du fémininisme m'a été apportée par un commentateur du  "Blog A Lupus":

http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2019/03/16/la-theorie-civilisationnelle-d-herman-wirth.html?fbclid=IwAR20TAe5PZ_kxXck54R8BHAg8-6qPmAj6Gbe0RurorncAyDDhpQ0of9dO3s

Pour moi l'ordre féminin est circulaire (toutes en rond) alors que l'ordre masculin est linéaire (tous derrière le chef). Si bien que, selon moi, l'assemblée féminine du palais du Luxembourg devrait être circulaire (avec gradins) alors que l'assemblée masculine du palais Bourbon devrait être face à face (comme en Grande Bretagne).

Les deux ordres masculin et féminin s'épousent sur un demi-cône, au sommet-singularité duquel se trouve le Dieu-Déesse Janus.


Remarques pour matheux.

- Les matheux aiment compactifier, en particulier parce que les espaces compacts ont des propriétés de finitude que n'ont pas les espaces non compacts. La plus simple des compactifications est celle de droite en cercle, obtenue en réunissant les deux extrémités (à l'infini!) de ladite droite: compactifier une droite, c'est la féminiser. (Transposition politique: l'ordre féminin contient l'ordre masculin, et donc en VIème république le dernier mot devra être au Luxembourg…)

- Un demi-cône ne demande qu'à se prolonger en cône en accolant son opposé au demi-cône initial. Et chacune des droites génératrices du cône ne demande qu'à se féminiser en se compactifiant en cercle. On obtient ainsi ce que les matheux appellent (je crois¹) un cône projectif, surface unilatère. Lacan a été passionné -sinon fasciné- à la fois par les surfaces unilatères² et par les rapports homme/femme. Le cône projectif comme un déploiement de la singularité-sommet du demi-cône initial représentant le Dieu-Déesse Janus? L'Homme-Dieu et la Femme-Déesse comme les deux faces d'une surface qui n'en a qu'une?

Thom: "J'ai proposé de voir le "sacré" comme la compactification à l'infini de l'axe sémantique défini par l'opposition attractif-répulsif: devant le sacré qui le fascine, le sujet, à la fois attiré et repoussé par une force d'intensité infinie, se trouve immobilisé."


¹: Je suis nul en géométrie projective.

²: Ces surfaces sont compactes.
 

Masculinisme et fémininisme.2

jc

  17/03/2019

En reparcourant l'article sur la théorie civilisationnelle d’Herman Wirth, je m'aperçois que cet article a été écrit par un certain Alexandre Douguine.  Au flair -Rantanplan- j'ai toujours pensé que la Russie et la France sont toutes deux plus des matries que des patries. Alors que l'Allemagne, le Royaume Uni, les USA, sont -se veulent?- plus des patries que des matries.

Le coeur de l'affrontement qui se prépare ne serait-il pas là?

Masculinisme et fémininisme.3

jc

  17/03/2019

Patriarcat vs Matriarcat.Si la France et la Russie sont plutôt des matries que des patries, il semble naturel qu'elles soient régies par des sociétés plus matriarcales que patriarcales.

En parcourant la toile à propos des sociétés matriarcales je suis tombé d'abord sur l'incontournable Wikipédia où j'apprend que Françoise Héritier -qui a succédé à Claude Lévi-Strauss au Collège de France- "Les seuls exemples que l'on a [des sociétés martiarcales] sont mythiques.", pour découvrir ailleurs que cela semble bien ne pas être le cas.

L'exemple qui m'a le plus intéressé dans mes premières recherches est celui des Lakotas (alias les Sioux) en Amérique du nord. Car on y voit avec une grande netteté l'opposition entre cette société matriarcale et la société patriarcale anglo-saxonne qui lui a succédé en l'exterminant quasiment:

https://resistance71.wordpress.com/2011/06/22/societe-et-evolution-la-societe-matriarcale-comme-une-solution-a-la-degenerescence-induite-de-notre-societe/

Extraits de l'article qui reprend on article écrit par un vieux sioux (Russel Means qui a aujourd'hui plus de 70 ans):

"Le matriarcat est une société équilibrée. Maintenant, lisez attentivement ce qui va suivre et essayez d’avoir à l’esprit une image panoramique de la situation. Dans notre société matriarcale, tous les sexes célèbrent nos forces. Nous sommes une société totalement dévouée à ne pas faire de mal ou de blesser les sentiments d’autrui, que ce soit un insecte, un arbre, une grand-mère, la Terre, ou quiconque de vivant. Nous comprenons que toute vie vient d’une seule mère et que c’est notre devoir de respecter notre famille."

"L’évidence maintenant; le patriarcat est une société basée sur la peur où l’homme règne seul. Ainsi cette société est déséquilibrée. Le patriarcat leva sa tête hideuse il y a environ 6000 ans, en même temps que la place économique devenait son outil. Le patriarcat et le système de marché ne peuvent pas exister l’un sans l’autre. Le marché engendre la veûlerie qui engendre les empires. Quand on étudie l’histoire de tous les empires patriarcaux, nous voyons qu’ils font tous la même erreur, encore, et encore et encore et toujours. De la dynastie des Ming, à Kubilaï Kahn en passant par l’Egypte, la Grèce et la Rome antiques, du “soleil qui ne se couche jamais sur l’empire britannique”, à l’Union Soviétique et à aujourd’hui l’empire oppresseur et tortionnaire américain. Rien n’a jamais changé pour le patriarcat, avant ou après Jésus Christ, avant ou après Mahomet, avant ou après le Bouddha etc…"

Le passage d'une société patriarcale à une société matriarcale est pour moi l'analogue mathématique de la féminisation -par compactification- de la droite en cercle. Elle s'accompagne d'une féminisation du temps par passage d'un temps linéaire à un temps quasi-périodique (mathématiquement toujours, on passe du groupe additif des nombres réels à son compactifié de Bohr¹, groupe beaucoup plus riche et subtil).

La trilogie "ordre-harmonie-équilibre" revient fréquemment sous la plume de PhG. Songe-t-il à une société matriarcale en écrivant ça?

Je pense de plus en plus que des matheux, de vrais matheux, devraient s'intéresser à ces choses, à savoir la jonction entre la mathématique traditionnelle (nombres sacrés et formes sacrées) "à la Pythagore" d'une part et la mathématique contemporaine d'autre part.


¹: https://en.wikipedia.org/wiki/Bohr_compactification