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Article : Quelques points sur les i

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Le dragon ouvre un Oeil et le problème du Tréma

perceval78

  01/12/2016

On remarquera que l'Ambassade de France à Londres, a offert un bon repas aux membres de l'ECFR (organisme privé) venu discuter de l'avenir de la sécurité européenne.

Lykke Friis @lykkefriis  Nov 28
Excellent dinner discussion at the French embassy in London on European security. @ecfr board meeting ????

Le même jour Manuel Lafont Rapnouil (ECFR) critiquait l'aventurisme de Fillon.
Norbert Röttgen (ECFR) équivalent de Guigou (ECFR) disait qu'il fallait parler avec Fillon de la Russie et le Nytimes publiait un grand article sur le problème Fillon.

Justification ? Vous m'étonnez !

Christian Feugnet

  01/12/2016

Personnellement je comprends for bien vos choix , j'ai les mémes . Pour moi , mais peut étre aussi pour vous , j'en prends un pour cogner sur l'autre , faute de meilleur choix de préférence le plus apte . Mais c'est une distraction pour moi ,  je ne sais pas pour vous ? A mon sujet je me définirai plutot comme a-systéme que anti . Pour illustrer je qualifierais Epicure d'exemple type , il n'est pas exclu , pas frustré , son choix c'est de mieux vivre et c'est ce qu'il réalise . 
Ce n'est pas non plus un asocial , un solitaire comme Alceste , au contraire . Et sur la question du rire ou du language qui laisse à désirer on dit de Démocrite que là ou Héraclite pleurait , il riait . De méme pour le mouvement , on lui demande une réponse correcte au paradoxe de Zénon d'Elée , alors il se léve , marche , revient : le mouvement c'est çà ! Ce n'est pas un Mammamouchi pour autant . D'ailleurs , on croit que notre science moderne et au delà post moderne a résolu la question , on a des bonnes réponses , parce qu'un language enfin correct . Mais quand on connait , vraiment bien le code et sa sémantique il s'impose que non . On est comme le Maitre du Judo , on retourne à la ceinture blanche , pour bien signifier , qu'on ne connait rien .
 

Moi , aussi je me justifie ...

Christian Feugnet

  01/12/2016

Me revient à l'esprit , que j'ai fait , un commentaire , qui peut paraitre désobligeant au sujet de Joll Stein au sujet de la complexité monstrueuse . Sachez que je ne suis pas ce genre de critique . J'ai repris la terminologie de Kolmogorov , pour pas trop déranger . Parce que depuis on a découvert que aussi celà pouvait créer une beauté sublime . Grace à des représentations permises par la grande puissance de calcul des ordinateurs . L'exemple le plus populaire est celui du pain de Mandelbrot , qui a suscité un engouement notoire .

De l'attention aux bouleversements, et des choix politiques

Alexis Toulet

  02/12/2016

Je ferais pour ma part la distinction entre deux choses nettement différentes, d'une part l'attention aux signes, aux bouleversements et à l'inattendu qui non seulement rebat les cartes, mais encore transforme le conforme d'hier en nonconforme demain… du moins, à l'occasion ! Et dans ce sens de l'attention, de l'oreille et de l'âme ouvertes, sans doute l'avènement de Fillon fait partie des événements impromptus qui pourraient avoir une influence peut-être plus décisive qu'il n'y paraît, même éventuellement à l'insu du plein gré du premier concerné.

Le mot clé naturellement étant "pourrait". L'attention sans idée préconçue est de mise… pas la pondération du probable et de l'improbable. De même que la prévision d'un Emmanuel Todd en 2012 comme quoi pourrait s'affirmer la doctrine d'un "hollandisme révolutionnaire" faisait certes partie des possibilités. Quant aux probabilités, eh bien…

D'autre part, il est un autre domaine, celui des choix politiques, qui suppose là pondération du probable et de ce qui l'est moins, car il implique décision, que ce soit celle du citoyen-électeur, du militant politique, voire du soutien affirmé public et contributeur à un projet.
C'est dans ce deuxième sens que j'ai répondu au texte de Nicolas Bonnal "Le salut par Fillon et le légitimisme", qui pouvait peut-être contenir une part d'ironie ("J'attends les Cosaques et le Saint-Esprit" comme disait Léon Bloy) mais prenait quoi qu'il en soit une position nette de soutien politique à un candidat à l'approche d'échéances bien concrètes. Et cette position peut être, en tant que telle, approuvée ou critiquée. Dans mon cas la critique s'est faite ironique, sans aucune intention d'irrespect envers la personne, mais avec une causticité affirmée envers la position politique.

Car oui, préférer pour parler concrètement un Fillon à une Le Pen ou à un Mélenchon, ceci encore une fois pour un choix politique bien concret non dans le cas d'une analyse des signes de bouleversements actuels et futurs, voilà qui me pousse à l'ironie.
En toute amitié envers quiconque naturellement, Nicolas Bonnal comme toute autre, y compris qui aura envie d'être ironique envers ma position politique personnelle… j'utilise l'ironie, et je la supporte aussi bien sûr :-)

Ceci étant dit, le partage et la critique des positions politiques des uns et des autres n'est certainement pas le principal sujet d'intérêt de DeDefensa.