Jean-Paul Baquiast
21/12/2009
Vous dites fort justement, à propos du Rafale, que les qualités de celui-ci découlent d’une conception du monde structurante, fondée sur la légitimité et la souveraineté. C’est sans doute par un effet de ce que vous nommez la Grâce de l’histoire, que la France conserve encore quelques unes des qualités ayant permis l’émergence de telles solutions. Elle ne le doit pas à ses dirigeants actuels, non plus qu’a ses oppositions.
La source en est-elle tarie? Lors du sommet de Copenhague, la France aurait pu faire un véritable coup d’éclat en décidant seule d’appliquer, malgré les résistances internes, la politique vertueuse qu’elle avait tenté de faire admettre par les 27. Mais il aurait fallu un dirigeant d’une autre trempe que Nicolas Sarkozy. Confronté à l’épreuve, contrairement sans doute à ce qu’aurait fait le De Gaulle de 1940-45, il a plié lamentablement.
Il faudrait cependant ne pas abandonner. Je pense ainsi nt qu’au niveau d’un historien de son temps comme vous, la question devrait être reprise. J’y réfléchis pour ma part.
Voyez mon dernier édito
http://www.europesolidaire.eu/article.php?article_id=414&r_id=
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