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Oui , il y a un rapport . Lequel ? That is the question .
Je ne suis pas sur que la question soit insurmontable .
J'observe qu'il existe des tentatives , venant de Chrétiens , justement , quoique hérétiques ou limites ( Ellul , Illitch , dans une certaine mesure un précurseur Marx , mais aussi Heidegger , et quelques autres ) , pour le niveau théorique , et en pratique , des vocations qui émergent en pagaille avec quelques résultats .
On assiste à des tentatives , de mutations de la technique . Elle a depuis le déchainement de la matiére , on va dire , toujours été accompagnée de désagrements sociaux , culturels , écologiques et manifestement aijourd'hui elle passe à une vitesse suo , elle devient pathologique , pas seulement partiellement , mais en général .
Il ne me parait pas exclu , que ces réussites partielles , ne constituent , pour une pas se confondre avec l'anti systéme , de l'anti-matiére . Le Christianisme , avec tous ses défauts a né et prospéré , dans une société décadente , qu'il a subverti , pour en prendre le relais y compris dans la décadence . Tous çà c'est lent , à la limite deséspérement lent .

Cet article me paraît un peu faible. A partir d'un constat terrifiant et juste, le fait que nos sociétés favorisent l'essort des personnes les moins saines et les plus néfastes depuis très longtemps (Les produisent et les forment selon moi), l'auteur remet un discours manichéen du bien et du mal au goût du jour. Avec chasse à la sorcière et éradication v2.0 des individus gênants à la clef.
La pensée Chrétienne banale, celle qui produit le mal dont elle prétend se distinguer si violemment parce qu'elle ne veut pas regarder l'être humain dans son entièreté et voir que ce qu'elle dénonce est une part inhérante de celui-ci.
Ce qui me choque c'est que l'article semble se vouloir justement au dessus d'un discours aussi simplsite d'un bout à l'autre mais que je ne vois pas où il s'en distingue.
Personnellement, je m'attarderais plus sur la structure et les valeurs d'une société qui produit de tels individus plutôt que de croire que l'on peut tirer un trait à la craie blanche entre ceux qui ont une individualité et un libre-arbitre, et les vilains robots déterminés du système.