perceval78
10/10/2015
Carl Bildt a tout fait raison, notre incapacité à prévoir ce que vont faire les Russes est très inquiétante
Carl Bildt @carlbildt 8h ago
It's deeply worrying that our ability to predict Russia's different also military actions seems limited lien
On en est réduit à suivre les positions Russes en Syrie sur un site Ukrainien (les Français sont les seuls à bombarder ISIS) lien
et à écouter les rumeurs totalement infondées de la presse torchon made in Murdoch lien
Le plus inquiétant vient d'europe ou Juncker a pété un cable
RT @RT_com Oct 8
‘We can’t let our relationship with Russia be dictated by Washington’ – Jean-Claude Juncker lien, lien,
lien, lien
Le chicago council a immédiatement réagit
Ivo Daalder @IvoHDaalder 18h ago California USA
Disagree w/ @JunckerEU. US doesn't determine EU's relationship with Russia. Putin's aggressive behavior does lien
Mais trop tard, le virus s'était déjà répandu dans le nord de l'Europe
GorseFires Collectif @GorseFires 15h ago
Putin's list of "useful idiots" grows lien and @JunckerEU for lien
Comme s'il n'y avait pas suffisemment de confusion sur terre, notre président s'est laissé enfumé par l'EPP lien, la France se retrouve donc avec deux missions, sauver le soldat Ryan en Syrie et sauver le soldat VW outre-Rhin
Notre président ne comprend il pas qu'il faut sauver le soldat Juncker ...
Ni Ando
10/10/2015
"Il s’agit d’un changement complet par rapport à la mystique du nombre qui a dominé la pensée et les conceptions militaires russes depuis le XIXème siècle, et particulièrement tout au long du XXème, que ce soit dans le chef de la Russie et dans celui de l’URSS".
Concernant la Russie pré-révolutionnaire il convient de préciser que la stratégie du nombre ne semble pas lui avoir été spécifique en 1914-1917, partagée également par les autres puissances alliées, et que l'on trouve dans l'histoire russe ancienne beaucoup de généraux doués et entreprenants, la première place revenant sans doute au généralissime Alexandre Souvorov, sous Catherine II, dont on se rappelle qu'il vainquit en particulier à plusieurs reprises Fréderic de Prusse , avec des armées en nombre inférieur précisément, et que son score de victoire reste à ce jour assez exceptionnel (plus de 90% de batailles remportées et jamais avec l'argument du nombre). La première bataille de la Première Guerre Mondiale, celle de Gumbinnen le 10 août 1914, fut remportée par les Russes contre les Allemands et les premiers en nombre nettement inférieur.
S'agissant de l'Union soviétique, il est nécessaire de rappeler que les Soviétiques ont développé à partir des années 30 une nouvelle pensée militaire extrémement féconde née auparavant dans les cerveaux brillants de quelques "généraux intellectuels" de l'armée impériale russe sur le front russo-autrichien-allemand, après les grandes offensives Brousilov de 1916, ce que l'on appelé plus tard l'"art opératif". Cette doctrine oubliée pendant la guerre civile (certains de leurs inventeurs furent fusillés par les Bolchèviques pour origine noble) sera reactualisée, conceptualisée par des intellectuels russes entre 1922 et 1936, et sera franchement appliquée sans doute à partir de 1943, 1944 certainement. Cette doctrine considère que la guerre est loin d'être seulement un affrontement de forces mais est surtout et d'abord un "systéme" où de multiples facteurs interviennent. C'est la maîtrise de ces facteurs qui donne la victoire avec l'emploi de la force armée. Les Soviétiques mettront en oeuvre cette doctrine sur une trés grande échelle lors de la gigantesque offensive Bagration en juin 1944 sur un front de 600 kilomètres, offensive qui se solde par la plus grande défaite militaire de l'histoire de l'Allemagne (mesurée en perte d'effectifs et de matériels : 380.000 tués et 150.000 prisonniers, 25 divisions anéanties). Ce que les stratéges soviétiques avaient écrit se réalisa et l'on assista fasciné à la démonstration de l'efficacité de la théorie sur un plan opérationnel (l'on voit de grandes unités de laWehrmacht rendues inutilisables, incapables mêmes de rejoindre le théâtre des opérations). Jean Lopez rappelle que l''art opératif soviétique" a été pillé abondamment par les Etats-Unis dans les années 70, puissance dominante alors en mal d'une doctrine militaire moderne efficace.
Il est piquant de constater que la pensée militaire occidentale des années 60 jusqu'à aujourd'hui (celle de l'OTAN…) est ainsi née dans l'esprit ingénieux de quelques intellectuels russes du début du vingtieme siècle. Les Allemands de l'empire du Kaiser se méfaient des Russes car ils les trouvaient trop "cérébraux". Il semble que depuis que la Russie se soit stabilisée ce pays ait décidé de mettre à jour également ses doctrines et son "art opératif".
Christian Feugnet
10/10/2015
Obama est noir , c'est d'évidence . Mais en fait plus blanc que blanc , c'est un cérébral , il ne sait plus danser .
Faust a dit au commencement était l'action . Mauvaise traduction , aussitot le Diable apparait . Nietsche , blanc de blanc , corrige , au commencement était la danse , pas le verbe ., la " communication" .
Il a trouvé çà comme philologue du grec archaique , par le verbe , paradoxalement , mais il connaissait la musique et appréciait les danseuses en tutu , nous dit on , pas à cause du tutu , je soupçonne , mais de l'en dessous de la ceinture , nous dirait Freud . .
Il n'y a pas que les danses Africaines , dont on veut ignorer la richesse culturelle , malgré Picasso et les masques du Bénin , ou le rock , qui persistent , y a les danses Russes , les danses de Diakilev çà a secoué quand méme , y a du sabre là dedans , du feu , c'est moins gentil que les soufis . Pourtant l ' Ei et autres les décapitent , avec raison , place au Verbe : le Coran .
Ben voilà , les Russes leur apprennent la danse du Feu .
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