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13/06/2007
Souvent, dans vos articles, la profondeur de l’analyse l’emporte sur l’abondance et le peu de pertinence d’un matériel documentaire étouffant.
Mais peu importe le prétexte, c’est le texte qui compte.
Ce n’est pas le cas lorsque vous tentez de nous rendre intéressant le triste bouffon apatride que les Français se sont vus octroyer comme président, avec comme seul alibi et seule justification les déclarations de ce dernier.
Il ne nous reste plus grand chose à lire, ne vous joignez pas, par pitié, à la claque subtile des grands clairvoyants prudents (même si votre voisin s’appelle Ignacio Ramonet)
En fait de prétexte, pourquoi ne pas gloser sur le fait que la politique étrangère de la France repose officiellement sur un bien étrange trio dont vous n’aurez aucun mal à trouver le point commun : Sarkozy - Lévitte - Kouchner ?
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