Ni ANDO
27/03/2009
David Angevin, dont le témoignage est par ailleurs digne d’intérêt, a les références qui lui plaisent et c’est son affaire. Ses “émois culturels” (“Star Wars”?, Warhol ? Jackson Pollock ?, Ronald Reagan ?) ne peuvent que faire sourire des Européens ou des Asiatiques instruits. Mais citer un Pascal Bruckner dont la “pensée” se réduit à quelques slogans moulés dans du béton armé est un peu court (le même qui trouvait tout à fait dans l’ordre des choses de faire raser par l’OTAN les infrastructures et les grandes entreprises yougoslaves et de bombarder des populations civiles). La pensée par slogans a ceci de pratique qu’elle est parfaitement réversible. On peut donc écrire lantiaméricanisme, le progressisme des cons, mais la proposition inverse est tout aussi pertinente: laméricanisme, le progressisme des cons.
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