Fram
04/05/2006
C’est un thème majeur car il remet en cause toute l’organisation du monde selon les vues “US” : une “nation” “d’immigrés” qui refuse tout d’un coup ceux qui arrivent après eux.
Samuel Huntington avait levé le lièvre dans son dernier livre sur l’identité US. Elle est protestante : c’est-à-dire particulière et non universelle, contrairement à ce qu’elle prétend.
Tout ceci sonne le glas de l’universalisme abstrait tant vanté par les “clercs” germano-pratins. Et pour cause : il s’oppose à la logique de l’Incarnation qu’annonce, seule, l’Eglise catholique.
L’“homme” n’existe pas : seul existe le “prochain”. “Plus j’aimais l’humanité, moins j’aimais mon prochain”, constatait Dostoïevski.
Ceci devrait plaire à l’“anti-moderne”.
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier