eric basillais
24/02/2015
Bouleversant de lucidité, de vérité et pour achever, d’horreur.
L’entrée vers Pasolini tient une place centrale dans cette essentialisation du SYSTEME.
Et augure rien de bon ...mais ça nous le savions hélas déjà au quotidien, sous forme moins brutale mais plus corrosive.
Excellent. Merci.
lionel périchon
25/02/2015
Vous avez produit une analyse admirable de lucidité et de pertinence en utilisant (en les rendant utiles, en ranimant leur esprits) Pasolini et Debord.
Merci.
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