jc
25/12/2020
PhG : "Tout cela est bourré d’oxymores, sans aucun doute, mais ce personnage [Trump] est lui-même une sorte d’oxymore-postmoderne, un oxymore-bouffe si vous voulez. Une psychologie de l’instant, des décisions dans l’instant, des réactions instantanées, et tout cela sans aucun suivi puisque nous sommes dans l’instant, dans le Big Now. Rien n’est organisé ni structuré, même le désordre, – surtout pas le désordre laissé au désordre, et tout cela en désordre."
Thom adore les oxymores (tel "Le prédateur affamé est sa propre proie" -modélisé par une fronce- pour lui à la base de l'embryologie animale) et préfère une bonne image quand toute explication "linguistique" est nécessairement laborieuse (1). Je trouve que Trump -en haut- comme Biden -en bas- prennent naturellement leur place sur la carte légendée du sens de Thom : http://strangepaths.com/forum/viewtopic.php?t=41
(1) "Malgré son caractère non quantitatif, qui a suscité la dérision des scientifiques professionnels, il [le modèle "fronce" de l'agressivité du chien de Christopher Zeeman] a l'avantage inestimable de montrer ce qui fait la supériorité d'un modèle géométrique sur une construction conceptuelle. Expliquer linguistiquement son contenu oblige à des paraphrases compliquées dont la cohérence sémantique n'est pas évidente." (AL, Envoi)
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