Christian Feugnet
06/02/2019
Celà , à mon avis doit étre considéré comme bisbilles disrtratives , faux antagonismes . Ci joint un document historique sur la chute du socialisme national où l'on voit que les principales préoccupations d' Hitler ( qui n'a jamais négligé sa fortune ) étaient strictement libérales ..
https://www.youtube.com/watch?v=lzKReoN65dU&t=100s
Jeannot
07/02/2019
Si on veut s'interroger sur la popularité du socialisme en Amérique, ce n'est pas Washington qu'il faut observer. Ce n'est pas "DC-la-folle". Le Congrès est toujours aussi froidement rationnel dans sa haine de ce qui fait obstacle au capitalisme. C'est donc très logiquement qu'il condamne le socialisme. Au passage on s'en sert comme d'un bizutage pour les députés les plus radicaux.
C'est hors de Washington, dans la société américaine, qu'on trouve la clé d'explication. Si les vieux Américains raisonnent toujours selon le logiciel anti-socialiste qui leur a fait gagner la première guerre froide, les jeunes générations, elles, sont beaucoup plus enclines à des idées socialisantes. Une bonne moitié selon les sondages. Cela se ressent même à droite, où le conservatisme libéral à la papa, façon Reagan ou Tea Party, n'est plus en vogue, et se voit substitué par Trump. À l'ère de la crise des opioïdes, du communautarisme, de l'immigration, du corporate capitalism, l'individualisme traditionnel n'a plus de solution à apporter, d'ailleurs il apparaît bien souvent comme le problème (bien qu'il subsistera toujours, ce qui sera le problème).
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