bert
10/04/2007
En parallèle à cette lamentable histoire, celle du maheureux traducteur afghan assassiné par les talibans qui le détenaient, lui ainsi qu’un journaliste italien. ce dernier fut libéré (en échange de prisonniers détenus par kaboul, semble t’il) et l’on ne pouvait que s’en réjouir, si ce n’est qu’au même temps, rien ne fut fait pour la libération de celui qui était ses yeux et oreilles sur place.
Cette histoire n’est sûrement pas isolée, tant en Irak qu’en Afghanistan (ou ailleurs, Afrique…), des journalistes ou traducteurs locaux risquent leurs vies, pour des raisons politiques, financières, ou autres, et sont la plupart du temps sacrifiés et oubliés lorsque “les choses se gâtent”...
Etant en contact régulier avec des amis afghans de longue date, je suis triste de constater que ces comportements entraînent logiquement un ressentiment envers l’étranger en général, identifié à ceux qui agissent aussi lamentablement dans des pays meurtris, mais ayant conservé fierté, courage et principes.
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier