michel cernay
17/02/2010
Faut-il deviner une présupposé dans ces réflexions?
Que le principe de fédération implique à un moment une sorte de gonflement qui débouche sur une volonté de puissance laquelle entre en contradiction avec la substance meme de la fédération…
Alors, le sort des E-U est inéluctablement fixé: son (leur) éclatement, tout comme l’a subi l’URSS. Et si la crise, c’est le système, alors la disparition de l’“hyperpuissance” mettrait les autres pays face à leurs seules responsabilités collectives sur la planète. Les nations, en fait…
A moins, bien sur…que la fabrication par le Pentagone d’un ennemi reconnaissable ne permette de maintenir la solidarité entre les 50 Etats, et là les dirigeants américains ont le choix: Iran, Chine, Russie…
Francis Lambert
17/02/2010
La Chine a reculé au deuxième rang des détenteurs d’obligations du Trésor américain en décembre, derrière le Japon, après avoir occupé la place pendant 15 mois.
Les étrangers sont restés acheteurs nets d’actifs américains à long terme en décembre, mais le rythme a ralenti et un nombre record d’obligations ont été revendues.
NB: Il était effectivement bien dérivatif de parler des PIGS ... plus qu’une pression de la Chine et d’autres acheteurs de dettes US (Treasury bonds) c’est une EVOLUTION FONDAMENTALE ... et c’est très dangereux pour tout le monde si cela tourne à la déroute.
Ici nous savons d’expériences répétées que LES BANKSTERS VONT TOUT FAIRE POUR AMPLIFIER CES VARIATIONS et LES MULTIPLIER. C’est la source la plus juteuse et la plus garantie pour les plus forts ...
alors si la volaille de nos Nations compte s’y frotter dans la concurrence de leurs haines historiques : BONNE CHANCE!
Ces “Haïtiens d’europe” par leur aveuglement passéiste s’ allient aux oligarchies financières (qui nous rançonnent déjà plantureusement: faites le total des intérêts versés sur la dette depuis les promesses des politiciens affidés ... de la “réduire”.
La dette d’investissement est indispensable mais pas le pillage par son excès (financement des dépenses courantes) et l’explosion de la charge d’intérêt.
Quand les taux de la BCE devront remonter (c’est évidemment le plus “cher” désir des créanciers), le service de la dette deviendra ruineux et l’euro servira à nouveau de bouc émissaire pour protéger les Banksters et leurs pires affidés ... tel Raffarin “qui n’a que faire d’équations comptables”: effectivement si ses copains empochent!)
GEAB N°42 est disponible!
Second trimestre 2010 : Aggravation brutale de la crise systémique globale - Renforcement de cinq tendances négatives fondamentales
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