Pascal B.
11/02/2012
Taguieff semble toujours en mission commandée pour venir en aise au système en discréditant soigneusement tous les ferments de contestation du système par ceux qui parlent du point de vue des “perdants” de celui-ci. Son instrument de prédilection semble être l’amalgame : mélanger le pire avec le meilleurs et assimiler le second au premier.
Par exemple, parler des démocraties à tendance socialo-bolivarienne d’Amérique du sud comme de ” régimes autoritaires latino-américains” classés dans le même sac que les “droites radicales européennes”, dont on connaît les liens qu’elles entretiennent encore avec les nostalgique du IIIe Reich, ainsi qu’avec “certaines théocraties islamistes” constitue de ce point de vue une manoeuvre doublement traitresse : primo elle ose un parti pris scandaleusement mensonger en diffamant les états question. Secundo, elle les compare à des régimes diabolisé.
Ce procédé dont Taguieff est coutumier est un déshonneur pour le travail des intellectuels. Ceci étant posé, cet extrait, en dépit encore une fois de son aspect tendancieux, présente un certain intêret de par le recours à la notion de religiosité qui habite les différents acteurs qu’ils convoquent dans cette analyse.
Arrou Mia
11/02/2012
Si la politique n’était pas faite pour le peuple ni par lui, alors cette politique serait faite par et pour QUI sans ambiguïtés?
Ben quoi!
Par une élite qui pense et agit à sa place sans ambiguïté aucune pour ses intérêts.
Le champ intellectuel et politique est en ruine à ce point que cet énergumène en vienne à ‘théoriser’ nonchalamment et avec une insuffisance de concept alarmante sur l’inanité du ‘peuple’ , des gueux qui ne savent décidément rien au “progrès” et rien de ce qui est bon pour lui.
Quel effronté falsificateur!
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