skyrl
13/04/2005
vieil adage sans doute enseigné par Sun Tzé. Le problème est que le virtualisme financier en vigueur permet de perfuser inlassablement les guerres, qui n’en finissent pas. Installé par le sertissage d’un système capitaliste à l’échelle mondiale, le seul et unique coup de somance ne pourra être qu’une crise économique sans précédent.
On m’a appris aujourd’hui que les américains finançaient aussi l’effort Israëlien à hauteur de 40 milliard de dollars annuel injectés dans l’économie, pour permettre aux Israëliens de maintenir la pression sur les palestiniens à bout de souffle. Un très bon chiffre: l’eau. Contre 300 litres par jour et par israëlien, un palestinien n’accède qu’à 3 LITRES. Culture comprise. Ce qui asphyxie complètement le pays. Je ne suis pas là pour juger l’absurdité; Mon propos est que tout ceci n’est possible que grâce à une perfusion continuelle.
Qui dit armée de conscription, dit encore davantage de perfusion. N’allez pas croire qu’un soldat de métier coûte plus cher qu’une recrue. Une jeune recrue demande à être formée. Cela est non seulement un solde pendant plusieurs mois, les instructeurs, les équipements, mais surtout un enième remodelement des structures de l’armée, et là tout le monde se sert au passage. Le tonneau des danaïdes.
Et qui dit conscription, veut dire 2 millions de garçons tous les ans. Ca va en faire, du monde à occuper. Attendez! Ca peut être un bon prétexte pour ouvrir des clubs med un peu partout dans le Great Middle East…
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