perceval78
05/12/2016
Les forces du bien sont attaquées sur 2 fronts, à l'est la Russie, à l'Ouest la France, M.Sikorski qui s'exprimaient face à des Post-Ouvriers (Investment and Pensions in Europe) nous dit que sous se passera au mois de Mai à Verdun.
et rappelle obligemment qu'en 1916 les Légions polonaises combattaient du coté Allemand pour stopper les Russes, qui s'étaient sentis obligés de déclencher une offensive
pour désserrer l'étau sur Verdun.
Juin 1916 coté Italien
Entre l'Adige et l'Astico, activité intense de l'artillerie les batteries ennemies ont bombardé hier, avec une violence particulière, les pentes du Mont Majo.
Juillet 1916 coté Allemand
Les troupes austro-hongroises qui combattent dans le coude du Styr, au nord de Kolki, et qui tinrent bon quatre semaines devant des forces ennemies de trois a cinq fois supèrieures en nombre, ont reçu hier l'ordre de se retirer de première ligne, qui formait une double enceinte. grâce a l'appui des troupes allemandes à l'ouest de Kolki et grâce au dévouement de la légion polonaise vers KolonIa, ce mouvement s'effectua sans être troublé par l'ennemi.
Les hyper libéraux Polonais comprenant que les allemands perdaient décidèrent de passer coté français en 1917,
quelques mois après verdun ... sic ...
Juillet 1916 coté socialiste Français réfugié à Londres
Les Polonais ne crurent pas aux promesses russes d'autonomie, et ne furent pas étonnés des mesures de coercition prises en Galicie. C'est ce qui permit à celle-ci de s'estimer délivrée par les Austro-Allemands en 1915. Au point de vue démocratique, les défaites russes seront un bienfait, si elles ont d'autre part l'inconvénient de prolonger la guerre.
Ici l'auteur revient une fois de plus sur l'identité de base historique, d'intérêts permanents et de méthodes entre le militarisme, le conservatisme et le réactionnarisme.
De là l'identité d'attitude chez les conservateurs des différents pays, « preuve flagrante de l'existence d'une mentalité de classe et de caste, indépendante de la mentalité nationale. »
La guerre austro-allemande en Russie a eu pour heureux effet l'entre-destruction de puissances autocratiques, preuve nouvelle de l'inintelligence politique de l'esprit militariste,
qui négligea ses réels ennemis politiques et économiques pour aller s'user contre l'Etat qui avait les mêmes intérêts de caste qu'elle.
On le comprend il est très difficile dans ce monde d'idiots utiles et de propagandistes inutiles de savoir ce qu'il faut faire, les apparences sont trompeuses, Radek Sikorski nous donne une piste :
We need to fix these three vulnerabilities – the openness of our cyberspace, the openness of our borders and the perception of unfairness of our economies – because, if we don’t do it, somebody else will, but they will do it incompetently, and the cost will be much higher.
Marcpier Lecocq
05/12/2016
"le piteux jet de l'éponge de Hollande"
ne serait-il mieux formulé par :
"le piteux auto-jet de F.-l'éponge-Hollande"...
Nicolas Prenant
06/12/2016
Bon d'accord, les référendums populaires sont devenus les fourches et les piques d'autrefois. Il est vrai que le peuple s'est toujours battu avec les armes qu'on lui laissait, par négligence, par complaisance ou encore par fourberie.
Je comprends l'idée de faire aïkido en se servant de la surpuissance du système. Je crains seulement qu'à force, ils finissent par comprendre, et cessent de consulter les peuples, en adoptant la stratégie qui consiste à faire le mort et l'aveugle tout à la fois.
Il faudra alors attendre que les institutions s'immolent et fondent d'elles-mêmes ? Malgré tout, les élections mettent des têtes non pas sur les piques, mais au sommet des gouvernements, où ils peuvent encore faire ce qu'ils veulent, en quelque sorte. Pour moi, avec Trump, le Brexit et le référendum italien (ou encore Fillon sorti de nulle part), nous ne sommes qu'aux toutes premières étapes d'un processus qui en requiert encore de nombreuses pour restaurer un semblant d'équilibre entre l'élite et le peuple, les gouvernants et les gouvernés.
Il faudra notamment passer par la prise de conscience qu'élire Trump, Le Pen ou Fillon ne suffit pas… Et je ne suis donc pas si sûr de ce qui est approprié ou inapproprié, entre la soumission perfide au système électoral ou des méthodes disons plus claires et plus directes, même s'il est vrai que ces dernières portent aussi leur lot de problèmes.
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